PARIS, LA GUERRE ET MOI

PARIS, LA GUERRE ET MOI
Septembre 1870

PARIS, LA GUERRE ET MOI

Septembre 1870

Je m’étais choisi une gentille maîtresse et je vivais tranquillement auprès d’elle quand la guerre a éclaté.

Le Second Empire s’est effondré. La République a été proclamée.

Mais les Prussiens assiègent Paris qui est affamée. Le quotidien est rude pour nous tous, animaux comme humains. Notre enjeu est maintenant la survie.

Et voilà que débarque dans notre vie un homme aux idées nouvelles, un instituteur, épris de justice, patriote et engagé…

Un roman sur le siège de Paris et la Commune...


mardi 11 octobre 2016

Un coup d'oeil nostalgique dans le rétroviseur pour un premier roman épuisé

  • Auteur: Serge Rubin
  • Synopsys: Été 42. Dans un Paris occupé par les Allemands, Jacques Poulain et Myriam Apfelbaum habitent le même immeuble, lui avec son père magicien, elle avec sa mère couturière. Âgés de onze ans, ils vivent, complices, dans l’insouciance de l’enfance. Mais lorsque la mère de Myriam est arrêtée et déportée, Jacques découvre brutalement que porter une étoile n’est pas un jeu en temps de guerre. Il se jure de protéger son amie coûte que coûte, jusqu’à se mettre lui-même en danger…
    Commence alors un long périple pour les deux adolescents : ils se cachent dans un village au-delà de la ligne de démarcation. Myriam, aux yeux de tous, est devenue Marie Poulain, sœur jumelle de Jacques. Sur le point d’être découverts, Jacques et Myriam s’enfuient à nouveau, cette fois pour la zone d'occupation italienne. Mais le sort s’acharne sur les deux amis…
    Roman d’apprentissage et d’exil, ce récit bouleversant d’une profonde amitié nous entraîne aux limites de l’imaginable. Avec Jacques, le lecteur fait face à la cruelle réalité qui détruit toute la fraîcheur de l’enfance. Serge Rubin aborde le thème sensible du sort des enfants sous l’Occupation avec finesse et douceur, sans édulcorer la dureté des faits. On sourit devant les jeux et les ruses de Jacques et Myriam, on pleure avec eux lorsqu’ils sont séparés de leurs parents, on tremble lorsqu’ils sont traqués par les Allemands… Un livre prenant, palpitant, qui ne pourra laisser personne indifférent.
  • Presse: "Un roman fort et poignant." "Une réussite !" "Sublime !" "Magistral !" "A ne louper sous aucun prétexte" "La découverte ! Passionnant, bouleversant. Un roman rempli d'émotions, jamais à l'eau de rose ni démago. Passionnant et qui à travers une intrigue bien ficelée, fait découvrir aux ados, une page de notre histoire la plus tragique et leur fait découvrir toutes les facettes de l'être humain." (Librairie La Griffe noire, Saint-Maur)
    "Avec beaucoup de délicatesse et de pudeur, Serge Rubin raconte une histoire qui a été celle de beaucoup d'enfants pendant ce conflit. Une histoire pour ne pas oublier. Remarquable!" (Librairie Gwalarn, Lannion)
    "Une histoire tragique et bouleversante mais aussi pleine d'espoir. Un roman palpitant et très bien écrit sur l'enfance, l'amitié et l'exil. Pour ne pas oublier." (Coup de cœur de La FNAC)
    "Ce roman poignant sur l'antisémitisme est conseillé à partir de 10 ans. Coup de cœur." (Médiathèque des Territoires de la Mémoire, Liège)
    "Un roman remarquable tout en pudeur qui cependant n'atténue rien de ce qui reste un des épisodes les plus sombres de notre histoire." (Beurk ! Des livres!)
    "Les personnages sont crédibles, les émotions sont fortes et vraies. Le roman est bien écrit, le vocabulaire simple et le rythme soutenu." (Vivrelire)
    "Un roman tendre et palpitant, le récit d'une amitié plus solide que les angoisses de la vie." (Le Nouvel Educateur)
    "Un roman d'apprentissage dans lequel cohabitent la guerre, dans toute son absurdité et son horreur, et une amitié lumineuse, source d'espoir en l'humanité et en une vie qui a encore quelque chose de bon à offrir. C'est le cœur lourd que le lecteur calque ses pas sur ceux de ces deux enfants grandis trop vite qui découvrent que la véritable magie n'existe pas et que les étoiles de shérif sont symboles de répressive terreur en temps de guerre. Un récit à la fois dur et sensible au cours duquel Jacques, dont le père est tué par les Allemands pour s'être livré à la résistance, n'hésite pourtant pas se faire passer pour un juif et qui donne au final sa vie pour sauver celle de son amie. Parce qu'on ne doit pas oublier." (Réseau des bibliothèques publiques de Montréal)
    "Premier roman publié et première réussite pour cet auteur qui nous promet d'autres belles histoires." (Libby)
    "Une histoire de guerre qui ne devrait être que tragique et horrible, mais dont la solidarité et l'amitié qui en émanent la transforment en récit fort et sublime." (Lectures)
    "Un roman vraiment poignant que vous lirez sans discontinuer, le souffle haletant jusqu'au crescendo final vraiment tragique… Très beau roman d'apprentissage." (Libby)
    "C’est un très beau livre que je recommande. Intéressant et émouvant." (Tribu 12, n°32, 2012)
    "Le lecteur est tenu en haleine par l’écriture subtile et tendre de Serge Rubin, menée dans un grand souci d’exactitude historique. Le propos n’en est pas pour autant didactique et c’est là une des grandes forces de ce premier roman : éclairer l’histoire, faire vivre cette période sombre et nous donner un vrai plaisir de lecture. A lire dès le collège." (La Librairie Le Chat Perché (Le-Puy-en-Velay))
    L'Union de Reims
    "Comment aborder le difficile thème de la Shoah avec les enfants ? Serge Rubin a relevé le défi en écrivant « Il n'y a pas que les shérifs qui portent une étoile », son premier roman." (Le Parisien)

    Ouest-France
    "Le contexte historique est très bien rendu et la tension que vivent les personnages est palpable. Le suspense est donc présent et entier jusqu'à la fin. Un très bon premier roman qui se lit très facilement." (Histoire d'en lire, février 2014)
  • Awards: Sélectionné dans les nouveautés de l'été 2009 de Livralire
    Sélectionné pour le Prix Tregor Ados 2010
    Sélection pour le Prix Coup de Pouce D'Eaubonne 2011
    Sélection du 3e festival de la première œuvre - CRILJ de l'Ain 2011/2012

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire